Pièce de Peter Ustinov Mise en scène Marie-Noëlle Médana
Joué en 2004
La pièce
Quatre colonels des armées d’occupation en Allemagne se rencontrent régulièrement pour confronter leurs points de vue forcément divergents. Et quand ils parlent d’amour…
Peter Ustinov est un écrivain, mais aussi comédien et metteur en scène de théâtre et de cinéma. Il est né le 16 Avril 1921 et mort le 29 Mars 2004. Il parle plusieurs langues : anglais, français, italien, allemand et russe, ce qui lui a permis de doubler lui-même ses propre rôles dans différentes langues.
Pièce de Jean-Noël Fenwick Mise en scène Marie-Noëlle Médana
Joué en 2003
La pièce
Coralie, Christian et Gonzague parviennent ensemble dans l’espace confiné d’un lieu clos. Coralie devine qu’ils sont morts. Situation peu confortable, mais pourquoi forcément désespérante ou désespérée ? N’est-il pas plus plausible qu’un tel enfer reste humain, dérisoire, pathétique, inattendu, cocasse, comme tout ce qui touche à notre condition ? Et que l’inévitable strip-tease des âmes s’y effectue moins par inquisitions réciproques que par inadvertance, par besoin de tuer le temps ? L’enfer n’est-il pas avant tout pavé de potins ?
Pièce de Jean-Paul Daumas Mise en scène Marie-Noëlle Médana
Joué en 2003
Dans quel univers Jean-Paul DAUMAS nous emmène-t-il à travers ces rencontres de femmes ? On peut se le demander ! S’agit-il d’une pension de famille, d’une maison de retraite, d?..un asile d’aliénés ou tout simplement d’une scène de théâtre ? A vous de trouver la réponse ! Quatre femmes vivent en huis clos dans ce lieu où l’on feint de ne pas entendre les coups frappés au fond du couloir (on est très bien ici), sans jamais oser (ou pouvoir) en sortir, parce que dehors il pleut, qu’il y a des voyous partout …
Pièce de Marivaux Adaptation et Mise en scène de Romain Barrier
Joué en 2001
La pièce
Comédie sociale et philosophique, La Colonie met en scène la révolte des femmes qui aspirent à sortir de l’humilité ridicule que les hommes leur ont imposée depuis le commencement du monde. Dans une île, menée par Arthénice, une femme noble, et par Mme Sorbin, la femme d’un artisan, la Colonie fait l’expérience difficile de sa liberté, se trouve bientôt divisée par des conflits de classe et finit par redonner aux hommes quelques pouvoirs. Reste la revendication résolument moderne d’une reconnaissance sociale de la femme.
Pièce de René de Obaldia Mise en scène Marie Noëlle Médana
Joué en 2000
«Notre temps est non seulement provisoire, mais particulièrement convulsif » nous dit l?..auteur. Les Basson-d?..Argueil, bourgeois du 16e arrondissement, vont affronter la tourmente au sein de leur famille, mais aussi subir les attaques de l?..extérieur oû gronde une révolution. Cette comédie s?..ouvre à la manière des Femmes Savantes, mais c?..est à une satire de notre temps que nous expose ici René de Obaldia. « Avec ou sans perruque, l?..homme a-t-il vraiment changé depuis le 17e siècle ? »
Pièce de Jean Anouilh Mise en scène Marie-Noëlle Médana
Joué en 2000
Le Nombril dessine la trame complexe des rapports humains de Léon avec le monde extérieur : son médecin, sa petite amie, son vieil ami Gaston, son ex-femme, ses enfants, personnages fortement typés. C?..est contre ce flot envahissant que Léon défend son temps, sa tranquillité, son carnet de chèques…
Pièce de John Boynton Priestley Mise en scène de Marie-Noëlle Medana
Joué en 1998
Un soir de printemps 1912, M. John Birling, gros industriel du Nord de l’Angleterre, célèbre en petit comité les fiançailles de sa fille Gladys avec Gerald Croft, le fils de son principal concurrent. La soirée semble devoir se terminer dans l’euphorie générale, quand on sonne à la porte. Edna, la femme de chambre introduit un inspecteur de police, étrange personnage, venu enquêter sur les causes du décès d’une jeune femme nommée Eve Smith. Les Birling, Gerald Croft ont beau se récrier, la mort de cette inconnue ne peut que les toucher de fort loin, ils ne tardent pas à déchanter.
Un procès qui tente de lever le voile sur le décès du richissime Bjorn Faulkner retrouvé mort au pied de l’édifice qui porte son nom. Malgré une lettre de suicide retrouvée par la police, on accuse la maîtresse de Faulkner du meurtre. La pièce présente donc le procès de Karen Borg. De nombreux témoins défilent, interrogés par des avocats ambitieux. Les té:moignages sont pour le moins contradictoires. Qui dit la vérité? Qui ment? Karen Borg est-elle coupable?
